Au début de notre parcours, n'ayant aucun recul sur la viabilité financière d'un écovillage, aucun institut de financement n'a souhaité nous soutenir.
Nous avons alors eu la chance de recevoir le soutien de Merkur, une banque solidaire et coopérative, et de caisses de pensions, dont les taux d'intérêts étaient très élevés (autour de 9 %).
En France, un nombre croissant de banques solidaires fait son apparition, les plus connues étant la NEF et le groupe Crédit Coopératif.
Pour plus d'informations sur les options françaises et les raisons de leur importance, nous vous invitons à consulter les liens ci-après :
Suite à la réussite du premier groupe de l'écovillage, les instituts de crédits ont gagné en confiance dans le projet et les groupes d'habitations suivants ont pu commencer à emprunter, notamment à partir du groupe n°3.
Par ailleurs, l'étroit travail avec les politiciens et les pouvoirs publics a permis d'accéder à des "cagnottes", des emprunts auprès de la commune et/ou de l'État à des taux très avantageux qui visent à soutenir des projets soutenables à vocation générale, sous réserve qu'ils répondent à certains critères. Ce soutien par les autorités nous a notamment été très utile pour la société d'énergie, alors vu comme une expérimentation risquée financièrement, mais intéressante pour l'intérêt général.